Abri conventionnel

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Il est toujours bon de se rappeler nos vieux classique concernant les abris improvisés.

L’abri en appentis.

Surement le plus classique des abris, il peut se réaliser sans cordage mais nécessitera une certaine dépense énergétique. Une poutre horizontale à 1,5 mètres de haut maintiendra plusieurs montants à un angle avoisinant les 45 degrés ou s’entremêlera des entretoises flexibles tressés au-travers ceux-ci.

En guise de bardeau, des branches de conifères seront disposé de manière à évacuer l’eau. Mais il serait illusoire de penser que l’abri sera hydrofuge. Ce type de toiture ne fait que retarder le passage de la pluie.

C’est l’épaisseur du branchage qui dictera le temps que prendra la pluie à passer. Donc, plus c’est épais, plus la pluie sera retardée. Par contre, en hiver, cette méthode simple sera à retenir, créant une bonne protection pour ses occupants.

 

L’abri en A.

Il se réalise à partir d’un arbre déjà tombé ou d’une structure que vous devrez monter par vous-même. Il offre les mêmes propriétés que l’abri en appentis. Deux fourches inversées et entrecroisées maintiendront l’une des extrémités de la poutre maitresse à un mètre du sol.

L’autre extrémité sera déposée au sol.

Une ossature sera ensuite déposée, appuyée au sol et à la poutre maitresse.

Disposez ensuite des branches de conifères en guise de toiture…

Peu importe le type d’abri choisi, il sera tout aussi important de s’isoler du sol une fois la construction terminée.

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