Le Coprin chevelus
Voici l’un des champions du Québec comestible et facilement identifiable.
D’une teinte blanchâtre, son chapeau cylindrique de 6 à 15 cm recouvre presque totalement son tronc. C’est d’ailleurs grâce à celui-ci qu’on le reconnaît avec certitude ses petits cheveux recourbé en surface. Il pousse dans les clairières, prairies, pelouses et apparaîtra à l’automne.
Le piège à oiseaux
Voici comment réaliser la fameuse cage à oiseaux comme piège, afin de se nourrir en situation de survie.
Le champignon Homard
Voici l’un des champignons comestibles des plus facile à identifier ici au Québec. Il s’agit en fait du Hypomyces lactifluorum ou dermatose des russules qui évolue sur un champignon déjà existant, la russule à pied court. Le champignon d’un champignon.
Manger des vers de terres ou lombrics
Le ver de terre peut-il être consommé en mode survie?
C’est certain que oui et ce, sans être dans un pareil mode.
De son nom scientifique le Lumbricus terrestris est constitué à plus de 50% de protéine.
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L’aulne
Nourriture de survie hivernale.
Cet arbuste qui abonde parait des plus banal. Il pousse en taillis dans les milieux humides et comble beaucoup d’espaces dégagés. Mais malgré ses apparences envahissantes se cache une source de nourriture très « protéinique ».
Le sorbier d’Amérique
Si je vous parle de cet arbre, ce n’est pas pour vanter sa beauté, mais plutôt pour décrire son côté utilitaire en survie en forêt.
Le vinaigrier
Vous auriez envie d’un breuvage un peu différent? Avec le sumac vinaigrier, ça sera possible.
Le quatre-temps
C’est une petite plante qui pousse un peu partout sous un couvert forestier.
Le grand plantain
Découvrez dans cette petite vidéo les bienfaits de cette plante très envahissante…