Dans notre climat nordique en saison froide, ou encore quand rien n’a commencé à pousser, peu de ressource se retrouve à notre disponibilité pour se nourrir mis à part des animaux sauvages. Mais une plante pourrait bien vous sauver la vie comme elle l’a déjà fait avec quelques expéditions dans le grand nord Canadien…
Salaison de viande, le Lomo
Voici un petit moyen de se faire sa propre charcuterie maison en toute simplicité. La petite recette que je vous propose est un lomo. Le lomo est en fait du porc, salé (salaison), dessalé, assaisonné et vieilli…..Faites en des réserves de nourriture, une entrée pour épater vos invités ou un menu d’expédition…
Le piège Païute
A part la chasse, la pêche et la cueillette, un des truc pour s’alimenter en survie nous vient du piégeage. En fabriquant plusieurs pièges efficaces avec un minimum de dépense d’énergie, ils pourraient nous procurer un certain apport en énergie qui nous est vital dans ce type de situation. Alors, un des piège facile de fabrication de type abattoir est le piège Païute.
Pemmican
Directement issue de tradition amérindienne, le pemmican (du cri pimikan, qui signifie « graisse préparée ») est à base de viande séchée, traditionnellement du bison (on peut également utiliser de l’orignal, du caribou, du cerf ou du bœuf), réduite en poudre grossière puis mélangée en parts égales à du saindoux (gras) et, parfois, à des amélanches, des canneberges et même, pour les grandes occasions, à des cerises, des groseilles, des cerises de Virginie ou des bleuets. Une fois refroidi, le mélange était inséré par lot de 41 kg dans des sacs en peau de bison.
Éclairage de fortune
Il faut parfois faire avec les moyens du bord pour se dépanner dans certaine circonstance.
Nous avons déjà vu bien des façons de s’éclairer avec peu de chose. Alors, voici le dépannage 101, éclairage canne de thon!
La Sardine
Ça serait une bonne idée d’oublier cette petite boite de sardine dans son sac à dos (106g). Disons que perdu en forêt, ça ferait un petit 150 calories vite engouffrer…en plus personnellement, je trouve ça bon. Mais certain comme Mick Dundee dirait « C’est bourré de vitamine, mais ça un gout de chiotte ».
La banique
Ce petit pain artisanale qui tire son nom de l’écossait « Bannock » fit son apparition en Amérique avec le début de la colonisation et non, comme la plupart le pense, des Amérindiens. La banique fut la base des menus d’expédition des coureurs des bois et trappeurs d’autrefois et demeure toujours d’actualité pour plusieurs d’entre nous qui côtoyons les grands espaces.